Chapoullié Blog

Le livre qui ne voulait pas s'effacer

Category: Peinture fraiche

Temps toujours Moderne

Pignons du Tour, ressorts en dérailleurs

Mécanique d’horlogerie, souvenirs d’écrans, siccatif flamand sur éclaté de roues dentées

Tension de cordes finalement plutôt bien accordées de Précision

Comprenne qui le voudra bien, tant appris à attraper les mots au vol, emporté par Murat et Bashung



Calme et Tranquille

Noël aux balcons

Encres, pixels, pastels

Gravure de tirage

Fin d’hiver




Et soudain Éole….

…apparût.

Des d’années à l’espérer. A scruter à travers autant de hublots. J’en avais croisés pourtant de multiples, dieux, gargouilles et autres farfadets, mais d’Éole point.

Et voila qu’enfin la chance vint à 12 000 pieds par dessus la Méditerranée.

On le devine fraichement échappé du Petit Théâtre de Marie-Antoinette aux toiles bleu azur de décors surannés, que j’apercevais enfant, derrière les vitres empoussiérées du château.

Flanqué de sa Cour nébuleuse, chimères aux joues bien remplies, zéphirs, souffle, brise, tempête, gargouilles et trompettes. Une rencontre de 7eme ciel.

…attendue


Circa 2015


Dubaï, Sidney; le retour

Dubaï Airport, vol de nuit, en route pour Kununurra, Terres du Nord, Terres rouge, Terres Aborigènes

Marouflage, pixels pigments, pigments aquarelles, panneau de peuplier 220 x 60

La Nuit de l’Orénoque.

Tout parait calme, incendie d’étoiles

éternel, éloigné, sans fin, sans crainte

 les singes hurleurs, leurs vociférations glaçantes

et puis oubliées

pirogues et tonka

 

Venezuela